Créées en 2006, les éditions associatives du Port d’Attache se sont donné pour but de publier de petits textes – poèmes, nouvelles, essais – portant un regard sans concession sur le monde.
Elles prolongent, sur le versant littéraire, les objectifs de Marseille-Art-Monde dans le champ des arts plastiques, à savoir la promotion d’expressions modernes et contemporaines.
Avec le Port d’Attache, nous voulons avant tout faire vivre des textes qui nous semblent riches de sens et d’émotions. Des textes émanant d’auteurs confirmés ou débutants, réputés ou méconnus. Des textes dont le souci de la forme ne s’exerce pas au détriment du fond. Des textes dont la lecture peut apporter un point de vue original et, ainsi, nourrir l’esprit.
Parce que, dans le contexte actuel, le prix des livres est souvent un obstacle à leur découverte, les nôtres sont et resteront toujours très bas – à peu près le prix d’un paquet de cigarettes. Quiconque étant intéressé par l’un de nos titres doit pouvoir l’acheter sans grever son budget.
Nos tirages sont modestes, proportionnels à la demande, de manière à ne pas accumuler vainement les invendus. Tous nos titres n’en font pas moins l’objet d’un dépôt légal et sont placés dans des librairies de Marseille et des environs.
Mais le projet du Port d’Attache est également lié à un désir de dialogue. C’est dans cet esprit que nous préférons solliciter des auteurs plutôt que d’être sollicités par eux, de façon impersonnelle.
Ce qui ne signifie pas que nous sommes fermés à des propositions spontanées, mais nous n’aimons pas refuser, frustrer, décevoir. C’est pour cela que la catégorie « Appels d’air » a été créée sur le blog, afin de faire circuler auprès d’éditeurs amis des écrits de qualité mais qui ne correspondent pas à nos attentes. Car tout texte a droit à une nouvelle chance.
Par ailleurs, notre appétit d’échanges demeure intact et nous invitons les auteurs qui visitent ce blog à nous envoyer des critiques, des réflexions, des commentaires ou des extraits de travaux en cours. Ils trouveront place dans l’une ou l’autre des catégories prévues a cette intention. Car le débat sur la chose littéraire doit être poursuivi sans cesse.
Elles prolongent, sur le versant littéraire, les objectifs de Marseille-Art-Monde dans le champ des arts plastiques, à savoir la promotion d’expressions modernes et contemporaines.
Avec le Port d’Attache, nous voulons avant tout faire vivre des textes qui nous semblent riches de sens et d’émotions. Des textes émanant d’auteurs confirmés ou débutants, réputés ou méconnus. Des textes dont le souci de la forme ne s’exerce pas au détriment du fond. Des textes dont la lecture peut apporter un point de vue original et, ainsi, nourrir l’esprit.
Parce que, dans le contexte actuel, le prix des livres est souvent un obstacle à leur découverte, les nôtres sont et resteront toujours très bas – à peu près le prix d’un paquet de cigarettes. Quiconque étant intéressé par l’un de nos titres doit pouvoir l’acheter sans grever son budget.
Nos tirages sont modestes, proportionnels à la demande, de manière à ne pas accumuler vainement les invendus. Tous nos titres n’en font pas moins l’objet d’un dépôt légal et sont placés dans des librairies de Marseille et des environs.
Mais le projet du Port d’Attache est également lié à un désir de dialogue. C’est dans cet esprit que nous préférons solliciter des auteurs plutôt que d’être sollicités par eux, de façon impersonnelle.
Ce qui ne signifie pas que nous sommes fermés à des propositions spontanées, mais nous n’aimons pas refuser, frustrer, décevoir. C’est pour cela que la catégorie « Appels d’air » a été créée sur le blog, afin de faire circuler auprès d’éditeurs amis des écrits de qualité mais qui ne correspondent pas à nos attentes. Car tout texte a droit à une nouvelle chance.
Par ailleurs, notre appétit d’échanges demeure intact et nous invitons les auteurs qui visitent ce blog à nous envoyer des critiques, des réflexions, des commentaires ou des extraits de travaux en cours. Ils trouveront place dans l’une ou l’autre des catégories prévues a cette intention. Car le débat sur la chose littéraire doit être poursuivi sans cesse.